Appel à témoignage thèse de médecine générale

Vous êtes invitée à participer à une étude menée par Louise Branchereau dans le cadre de sa thèse au sein du DES de médecine générale de l’Université Paris Cité.  

« Je suis partie du constat que le passage de la technicité de la PMA au deuil de l’enfant biologique n’était pas accompagné, ou rarement, dans les structures hospitalières. Je souhaitais interroger les patientes sur ce sujet, savoir ce qui les a marqué dans leur parcours, comment elles ont arrêté la PMA, ont-elles été accompagnées et par qui à ce moment là. « 

Contexte et justification de la recherche
L’impact psychologique de l’infertilité est démontré dans de nombreuses études. Face à l’augmentation de l’incidence de l’infertilité du couple,  et conjointement à l’augmentation du recours à la procréation médicalement assistée pour répondre à un projet de parentalité, se pose la question de l’accompagnement des couples, non seulement aux cours de la PMA, mais aussi après la PMA, quand la technicité laisse place au deuil de l’enfant biologique.  
Objectifs et hypothèses
L’objectif principal de cette étude est d’étudier qualitativement le vécu des femmes n’ayant pas d’enfant et ayant eu un parcours de procréation médicalement assistée, et définir la place des professionnels de santé dans l’accompagnement de ce vécu.  
Description claire et concise du protocole, des méthodes, des participants
  Entretiens menés grâce à un guide d’entretien et enregistrés à l’aide d’un dictaphone. Les entretiens sont ensuite retranscrits mot pour mot sur une page word, ils sont anonymisés et les données sont sécurisées grâce à des mots de passe complexes. Chaque entretien est relu par deux chercheurs pour permettre d’avoir une analyse de l’entretien la plus objective possible. Les participantes inclues auront eu au moins une tentative de fécondation in vitro et n’auront jamais eu d’enfant biologique

Vous vous sentez concernées par ce sujet ? Prenez contact avec Louise BRANCHEREAU via louise.branchereau@etu.u-paris.fr

Sa demande a été acceptée par le comité éthique de l’université Paris Descartes. 

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